Mais,
alors que je m'éloigne, passant les doigts dans les poches arrières,
transformant ce bon vieux 501 élimé en taille basse à string apparent,
j'entends des beats électroniques...qui attirent les gosses comme des
miettes de pain les moineaux...
Ton avant scène se dépeuple...
Je crois que la coupe techtonique et les gesticulations inhérentes ont bien plus de succès (alors
qu'entre nous soit-dit, des cheveux pas trop courts, un peu ébouriffés,
comme, je ne sais pas moi, un bassiste dans mon dos, ça offre une bonne
prise...)...
Campée au milieu de la rue, tournant la tête, sourire franc et massif, je jette un œil à ce type diablement sexy lorsqu'il joue dont le regard est repassé sous ses lunettes à fine monture, surveillant ses doigts qu'il imagine maintenant ailleurs...
Et je disparais....
Tu as pensé à une hallucination...
Quelques
minutes plus tard, alors que vous avez plié la panoplie du parfait
rocker, vous décidez d'aller boire un pot... Les moineaux t'ont dit
qu'ils rentreraient plus tard, de ne pas t'en faire (hey p"pa, j'ai passé 15 jours en Angleterre, tu ne vas pas me prendre la tête pour une soirée!!!)...
C'est marrant, tu traines la patte derrière les autres, tu te
retournes, jettes des coups d'œil... Non, c'était bien une
hallucination, décidément...
Mais
alors que tu passes à côté d'une porte cochère, de celles qui cachent
un sas avant de déboucher sur une cour intérieure, tu sens la manche de
ton t-shirt saisie au vol, et par laquelle tu es tiré...
Une
main qui tient ta manche, et passe à ton cou, alors que l'autre se pose
directement sur ta braguette, bien à plat, et que ma bouche se pose sur
la tienne un peu sèche, la faute à la clope qu' étrangement tu as
lâché... de tes mains maintenant libres, tu me serres contre toi, la
lueur surprise a cédé la place à un furtif éclair de tendresse puis ton regard devient lubrique....
...Ça tombe bien...
J'ai envie de Toi...
...Maintenant...
Apparemment, toi aussi,
je
sens que tu commence à bander sous ma main, alors que ma langue se
plante profondément dans ta bouche, que je suce la tienne lorsqu'elle
franchit le seuil de mes lèvres...
Du
pouce et de l'index, je fais sauter les boutons de ton jean, alors que
ta main est passée entre la toile épaisse de mon levi's et ma peau...Tes
doigts arrivent à la naissance de la toison courte, après avoir effleuré
la cicatrice qui la domine... tes doigts descendent, ton majeur passe
sur mon clitoris en appuyant fermement et me pénètre directement, alors
que la base de tes doigts se retrouve à enserrer ce bouton que tu manies
si bien...
Ta
queue est maintenant sortie, ne pas laisser de preuves...Alors que je
l'empoigne fermement, paume à la base, pouce en opposition des autres
doigts dont les ongles se posent sur tes couilles, tu as ouvert ma
braguette de ta main libre, saisissant la ceinture à pleine paume,
tirant la toile à toi, faisant péter les boutons...Ta
verge à la main, je la guide à mon sexe à peine humidifié, alors que tu
descends mon pantalon...Je ta branle fermement tout en caressant mon
clito de ton gland découvert...Du genou, tu descends mon jean, il
m'arrive à mi-cuisse, je peux juste assez écarter les jambes pour te
laisser te mettre contre moi, tout contre moi, alors que ta queue dans
ma main, je mords ton cou lorsque je la guide contre ma vulve, et te
sens me pénétrer d'un grand coup de reins...
Pause....
Le
chibre dans ma chatte, tu restes quelques secondes immobile, je
descends tes lunettes sur l'arête de ton nez, et fixe tes prunelles...Je
ne sais pas trop ce que j'y lis, ce n'est plus lubrique, ni bestial,
même si tu vas me baiser comme une chienne qui en demandera encore...
Au creux de ton oreille, dans un soupir:
"...Toi...".
Mais
je gémis maintenant, tu as écarté ton pubis du mien, une main sur ma
nuque me tenant fermement, l'autre saisissant mon sein...Et tu me
pénètre de nouveau, profondément...
Ça va être bestial, rapide... Mais tellement bon..
Mais
je veux te sentir au plus loin, heurtant le fond de mon sexe de ta
queue raide, alors je te fais quitter la moiteur de mon sexe, humide de
mon jus et des gouttes de désir de ta bite, mais pas si lubrifié, mes
lèvres remontant lorsque tu m'empales...
Je me retourne, plaquant mes seins à la pierre, et offrant mon cul rond et nu à tes coups de boutoir...
Tu te mords la lèvre, ta queue à la main et l'autre arrimée à ma taille cambrée...
Tu
me prends d'une longue poussée, ta main quitte ta verge pour saisir mes
cheveux, joue s'écrasant sur le moellon...tes cuisses écartées contre
les miennes serrées, tes couilles qui y tapent, de plus en plus
rapidement, je suis étroite sur ton sexe qui provoque mes râles de
plaisir...
Je
serres les jambes, t'emprisonnant, sentant chaque centimètre de ta
queue sur les parois de mon sexe, les veines qui se gonflent, les
couilles de plus en plus tendues...Tu me baises frénétiquement, je veux
te faire jouir, sentir ton foutre se répandre en moi...Je suis...au
bord...Tu plaques ta main sur ma bouche dont je suce les doigts pour ne
pas crier, même si mes gémissements se font de plus en plus forts...Tes
coups de reins, bordel...je sens que ta queue gonfle encore, qu'elle va
gicler au creux de mon sexe...
"Toi...jouis...jouis, s'il te plais..Je...Bordel...jouis en moi..."
Spasme de mon vagin sur ta queue qui me comble, qui me livre ton foutre au plus profond du sexe...
Tenant
ma nuque au creux de ta main, retirant lentement ton sexe de mon con,
tu me fais tourner vers toi...il y a comme des étoiles dans tes
yeux...Puis tu te baisses, doucement, sans rien dire, et recueilles du
bout de la langue un peu de ton sperme qui coule doucement à l'intérieur
de mes cuisses, et vient le déposer sur
mes lèvres... Puis tu recules, ma main quitte ta verge humide que
j'aimerais tant sentir, encore, à la peau fine et douce, sous mes
doigts...
"Vas-t'en, files, ou mes mots vont rattraper mes pensées..."
Ne te marres pas...respires...
Finis
de te boutonner, et pars, ils ont cru que tu avais un truc à dire aux
moineaux, ça a été rapide, intense...tu sais où les rejoindre...
Vas t'en où je vais (m'attacher) t'embrasser...
"Files Toi, je..."
"...t'embrasse".
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Ah, les indéniables vertus de la musiques ! Rien de tel que le rut majeur pour les grandes ouvertures.
RépondreSupprimerUne ouverture en fanfare pour un peplum qui au bout de six ans à perdu son souffle et fini sur un couac indigne... Mais qu'importe, d'autre mites au logis se créent et finalement, soyons compatissants, la racine de médiocre c'est simplement "moyen", simplement comme "heureuses les simples d'esprit, le royaume des pieux les attend"...
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